Comment choisir son premier cheval ?

Choisir son premier cheval n’est jamais une chose facile. Comment éviter les erreurs et ne pas commettre d’impair lors de la sélection ? Quelques conseils pratiques pour les novices.

Où se diriger pour acheter un cheval ?

Il y a de nombreuses façons d’acheter un équidé. Mais avant toute chose, il est important est de savoir l’utilisation que l’on souhaite en faire, de connaitre son propre niveau d’équitation, de rencontrer les vendeurs, et de se renseigner le plus possible sur l’animal que l’on a choisi.

Un équidé peut s’acheter tout d’abord en élevage, notamment lorsque l’on souhaite acquérir un cheval d’une race déterminée, ou avec des origines particulières. On y trouvera essentiellement des poulains et quelques fois des chevaux adultes déjà prêts à être montés. Connaître l’élevage d’où provient l’animal est primordial, afin de s’assurer des conditions d’élevage, des origines des animaux et du sérieux de l’éleveur.

L’achat peut également se faire entre particuliers, ou auprès de structures équestres professionnelles. Cette solution permet d’avoir un panel plus large d’équidés et de trouver celui qui convient le mieux, en fonction de la discipline, de la race, de l’âge, du gabarit, et du niveau de dressage que l’on souhaite pour sa future monture.

Enfin, on peut également acheter un équidé lors de foires aux chevaux ou de foires agricoles. Les prix sont sensiblement moins chers que dans les élevages en raison du volume de visiteurs et de la grande demande.

Quel est le profil idéal de votre premier cheval ?

On conseillera comme premier cheval un animal qui a déjà de l’expérience, notamment dans la discipline visée et selon son propre niveau.

Lors du premier contact avec l’animal, il est important de vérifier quelques éléments essentiels, tels que son état général (amaigrissement, présence de plaies, aplombs, problèmes de boiteries…), sa nervosité, sa maniabilité, etc… Il est aussi important de l’essayer, pour vérifier qu’il soit adapté à son niveau.

Être bien accompagné lors de l’achat

Il est conseillé de se faire accompagner d’un professionnel vous connaissant (moniteur d’équitation), qui aura une opinion objective, et qui s’assurera de la bonne compatibilité entre vous et l’animal, en s’intéressant à vos attentes personnelles et vos projets. Il vous permettra également de vous faire une idée précise sur le travail à fournir avec l’animal, ses qualités et ses défauts.

Il est également vivement recommandé de faire pratiquer un examen vétérinaire afin de juger du bon état de santé de l’animal. Si vous prévoyez d’acquérir un équidé, munissez-vous préalablement des coordonnées d’un vétérinaire équin qui saura parfaitement vous conseiller.

Dans tous les cas, veillez à ne pas prendre de décision immédiate lors de votre achat, et à prendre l’avis de professionnels.

L’importance du contrat de pension

Vous ne savez pas en quoi consiste un contrat de pension, ni l’importance de ce document ? Petit rappel pratique pour ceux qui ne connaîtraient pas ce contrat et les clauses qu’il doit comporter pour faire face à un litige en toute tranquillité.

Qu’est-ce qu’un contrat de pension ?

Le contrat de pension est un document officiel signé entre le propriétaire d’un cheval et le propriétaire d’une pension (centre équestre, écurie de propriétaire…). Ce document a pour objectif de définir les conditions d’hébergement de l’animal, tout en respectant les exigences du propriétaire du cheval.

Que dit la loi ?

Comme tout contrat, ce document est régi par la loi. Il est encadré par les articles 1915 et les suivants concernant le dépôt ainsi que par les articles 1110 dans le domaine des contrats en général. Et pour cause, le contrat de pension est considéré comme un contrat basique qui engage deux personnes. Le propriétaire confie son animal à un établissement spécialisé : c’est un contrat de dépôt. La loi n’impose pas d’écrit, mais il est vivement conseillé de le faire pour avoir une preuve de l’engagement de chaque partie.

Les engagements des deux parties

Le propriétaire dépose son animal dans une pension. Il doit avoir confiance dans le dépositaire, qui doit assurer un bon entretien du cheval.

Le propriétaire du cheval doit :

  • Lire le contrat de pension et le compléter si besoin, puis le signer s’il est d’accord avec les éléments décrits
  • Lire le règlement intérieur instauré par le dépositaire, l’accepter et le respecter
  • Payer le propriétaire de la structure (dépositaire) en suivant l’accord établi

Les engagements du dépositaire

  • Accepter et signer le contrat de pension
  • Entretenir et nourrir l’animal comme s’il s’agissait du sien
  • Respecter les conditions du contrat conclu
  • Pouvoir justifier d’une assurance couvrant notamment les dommages pouvant survenir au cheval

Le contrat de pension doit comporter certaines parties essentielles, telles que :

  • Le nom des parties et les informations du cheval (nom, n° SIRE…)
  • Le type d’hébergement de l’animal (box, paddock individuel, paddock collectif…)
  • Le type d’alimentation
  • L’utilisation du cheval
  • Le montant assuré par le dépositaire en cas de dommage subit par le cheval dans sa structure
  • Le montant du loyer
  • La durée du contrat

En cas de problème, à qui la faute ?

Le propriétaire de la pension n’est pas responsable des problèmes de santé de l’animal, sauf s’ils entrent dans le cadre de sa responsabilité civile. En effet, dans l’hypothèse où l’animal subisse un dommage pendant sa pension, le propriétaire de la structure devra prouver que la faute ne lui revient pas et que l’animal a été traité dans les meilleures conditions possibles, comme convenu dans le contrat de pension.

En cas de doute sur l’état de santé de l’animal, il doit également en avertir le propriétaire qui devra faire intervenir un vétérinaire.
Il en va de même pour les soins obligatoires annuels comme les vermifuges et les vaccins du cheval, qui restent à la charge de son propriétaire.

Pour information, dans l’hypothèse où le propriétaire n’honorerait pas ses paiements mensuels, le dépositaire est en droit de garder l’animal qui lui a été confié (article 1948 du Code civil).

Quels sont les conditions pour annuler la vente d’un cheval ?

Acheter un cheval revient à passer un contrat de vente entre un acheteur et un vendeur. Toutefois, cette vente est soumise à des obligations et des droits spécifiques. Ainsi, il est bon de savoir qu’un acheteur peut annuler l’achat d’un cheval que sous certaines conditions. Faisons un point.

Quelles sont les conditions pour annuler la vente d’un cheval ?

Avant de se rétracter, l’acheteur devra impérativement vérifier que ses raisons d’annulation sont valables. En droit, il existe quatre causes valables :

  • Le cheval n’est pas en adéquation avec les critères de conformité précisés dans le contrat de vente. Par exemple : le cheval n’a pas été livré selon les clauses définies par le contrat.
  • Les vices du consentement : tout comme les produits, l’acheteur est protégé en cas de vices cachés (dol et erreur sur la substance).
  • Les vices rédhibitoires : le cheval présente certaines maladies non précisées par le vendeur : l’emphysème, le cornage, les tiques, la boiterie antérieure à la vente. Chacun de ces vices doivent être mis en avant 10 jours après la vente, afin d’annuler cette dernière. L’uvéite et l’anémie infectieuse sont quant-elles à mettre en avant dans les 30 jours suivant la vente, pour annuler la transaction.
  • Les vices cachés : attention, le délai de rétractation de 7 jours n’est accordé que si un acheteur achète un cheval à distance.

Ces éléments mettent en avant l’importance d’établir une visite d’achat.

Quelle réglementation pour les abris de pâture ?

Quelle est la réglementation des abris de pâture pour les chevaux ? Y-a-t-il des règles à connaître et à respecter dans la construction d’un tel abris ?

Le code rural, dans son article R. 214-18 stipule que les équidés ne peuvent en aucun cas être gardés en plein air lorsqu’ils n’ont pas d’abri leur permettant de se protéger des variations climatiques (chaleur, froid). Cependant, les propriétaires d’équidés, qui ne sont pas forcément agriculteurs, sont confrontés à la difficulté de ne pouvoir abriter leurs animaux sur leur propre terrain, notamment en zone agricole. Une telle situation nous conduit à faire le point sur la réglementation concernant la construction des abris de pâture.

Si auparavant, la construction des abris de prairies, en zone classée A (Agricole) du Plan Local d’Urbanisme ou PLU, n’était pas envisageable pour les propriétaires d’équidés ne pouvant justifier l’exercice des activités d’élevage et d’étalonnage, il faut souligner que la décision, quant à l’autorisation ou non de l’édification de tels bâtiments, quel que soit le zonage du terrain, relève désormais des compétences de la commune de rattachement de la propriété à bâtir en référence à la loi n° 2010-788 du 12 juillet 2010.

Les conditions d’acceptation d’une demande

L’acceptation d’une demande d’autorisation est soumise à certaines conditions. D’abord, le respect de l’environnement en termes de défense et de restauration des sols ainsi que de préservation de la qualité des espaces naturels sensibles (sites, milieux naturels, …) est inconditionnel. Ensuite, entrent en jeu les questions de dimensionnement, d’emplacement et de densité des constructions.

Permis de construire ou demande d’autorisation de travaux ?

L’installation permanente d’un abri, c’est-à-dire pour une durée supérieure à trois mois, qu’elle soit avec ou sans fondations ou dalle de béton, mobile, démontable ou fixe, requiert une demande préalable de permis de construire si la surface bâtie excède 20 mètres carrés. Pour une superficie inférieure à 20 mètres carrés, une déclaration préalable et une demande d’autorisation de travaux sont suffisantes.

Comment rédiger un contrat de vente d’un cheval ?

La vente d’un cheval diffère de celle d’un bien de consommation ordinaire. Des litiges peuvent donc avoir lieu entre les deux parties si des clauses indispensables ne sont pas mentionnées dans le contrat de vente.

Que doit contenir le contrat de vente ?

  • Les parties : Le contrat de vente d’un cheval contient obligatoirement la désignation des parties : particuliers ou professionnels. Leur qualité dans le domaine équestre doit également y figurer, sans oublier le nombre de chevaux qu’ils ont déjà achetés et qu’ils ont à leur disposition au moment de la conclusion du contrat.
  • L’objet du contrat : Parmi les mentions obligatoires, figure l’objet du contrat. Chaque partie devra ainsi mentionner s’il est un acheteur ou un vendeur.
  • L’identification du cheval : S’en suivent ensuite le nom du cheval, son numéro d’identification que l’on retrouve dans le document d’accompagnement, et sa finalité, que l’animal soit utilisé à titre personnel ou professionnel.
  • Les conditions de vente : Qu’il s’agisse d’une vente simple ou d’une vente sous condition suspensive, les conditions de vente sont à mentionner dans les clauses du contrat. Dans le premier cas, il suffit que les deux parties se mettent d’accord sur l’objet de la vente et sur le prix. Dans le deuxième cas, le contrat ne sera conclu qu’à la suite d’une expertise valable.
  • Le prix et les conditions de règlement : L’élément essentiel de la vente, c’est-à-dire le prix, n’est pas à oublier. Si le montant y afférent est élevé, le demandeur a le droit de demander une caution pour assurer le paiement. En cas de règlement échelonné, les conditions de paiement comme les dates de chaque échéance et le montant de chaque versement sont également à inscrire dans le contrat.
  • La livraison : Une fois le prix inscrit, le délai de livraison est à préciser. Il faut donc mentionner dans le contrat qu’il s’agit d’une livraison immédiate ou différée, que l’animal est à récupérer chez le vendeur ou livré chez l’acheteur, ou que la livraison a lieu dans un endroit neutre préalablement défini par les deux parties. Pour ce qui est des frais de livraison, ces derniers peuvent être à la charge de l’acheteur ou du vendeur. Mais les conditions y afférentes doivent toujours être précisées dans le contrat.
  • Une clause de médiation : elle est obligatoire pour pouvoir faire appel à un médiateur en cas de litige. Ce système de règlement à l’amiable est indispensable pour trouver une solution avant de traîner l’affaire en justice.

Les avantages et inconvénients de la demi-pension équestre

Obtenir une demi-pension pour un cheval équivaut à endosser une part de responsabilité non-négligeable dans l’éducation et l’entretien de l’animal. C’est aussi un excellent moyen d’acquérir, même de manière partielle, la propriété d’un cheval.

Cette solution est idéale pour les cavaliers passionnés, désireux de profiter au maximum d’une relation privilégiée avec leur animal. Non seulement il est possible de le monter souvent, mais il est également envisageable de faire participer votre monture à des compétitions de type CSO – Concours de saut d’obstacles, et CCE – Concours Complet d’Équitation. Mais si la demi-pension équestre procure des avantages manifestes, elle a aussi son lot d’inconvénients que nous détaillons ci-après.

Les atouts de la demi-pension équestre

Concrètement, la demi-pension équestre intervient lorsque le propriétaire du cheval n’a plus le temps de s’en occuper régulièrement et manque éventuellement de moyens techniques pour l’accueillir de façon optimale. Ce système peut ainsi se révéler très instructif pour les cavaliers débutants, afin de leur permettre de prendre conscience de certaines responsabilités avant de passer à l’achat proprement dit.

Par le biais de la demi-pension, on entre alors dans un système de location à prix fixe, grâce à quoi le propriétaire peut monter son animal plusieurs fois par semaine. Les jours de monte pour le demi-pensionnaire, le cheval ne participe pas aux cours de l’école d’équitation et est totalement dédié à son cavalier. Cela permet de créer un lien fort avec l’animal et lui permettre de mieux progresser, ce qui constitue un atout non-négligeable pour les compétiteurs mais également pour les loisirs et les balades. Durant la demi-pension, le partage des frais de maréchalerie et de vétérinaire peut s’envisager selon les situations.

On retrouve plusieurs types de demi-pension selon les besoins et les situations rencontrées par chacun :

  • Demi-pension partagée avec un club : dans ce cas-ci, vous disposez d’un réel contrat qui couvre certaines dispositions comme le temps de monte de chacun des partis, les règles à respecter, etc. De même, l’animal peut être monté par d’autres cavaliers du club selon les conditions du contrat.
  • Demi-pension partagée avec un autre demi-pensionnaire ou propriétaire : l’avantage de cette situation est que chacun est libre de gérer son emploi du temps pour répartir la monte de manière équitable durant la semaine.
  • Demi-pension solitaire : cette situation peut se produire et n’est pas rare, si vous êtes en partenariat avec, par exemple, un propriétaire dans l’incapacité physique de monter.

Les inconvénients de la demi-pension équestre

Souvent, ce qui pose des difficultés aux demi-pensionnaires est l’attachement que peut procurer un lien étroit et particulier avec un animal qui n’est pas la propriété exclusive de ses cavaliers. Il convient alors de ne pas trop s’attacher, surtout si l’animal n’est pas à vendre. Par ailleurs, le prix de certaines pensions peut rebuter de nombreux demi-pensionnaires.

Pourquoi et comment réaliser une période d’essai ?

Si vous pratiquez l’équitation depuis plusieurs années, peut-être avez-vous pour projet de faire l’acquisition d’un cheval. Pensez à réaliser une période d’essai.

L’achat d’un cheval implique certaines responsabilités, ayant trait notamment à sa santé et à son cadre de vie. Cela entraîne également de nombreux frais auprès de spécialistes (vétérinaire, maréchal-ferrant, mais aussi ostéopathe, dentiste).
Avant de vous engager, il donc primordial de juger de la bonne santé du cheval et de veiller à trouver celui qui comblera vos attentes.
Une période d’essai avant un achat éventuel est une pratique qui permet de s’entourer d’un maximum de précautions.

Pourquoi réaliser une période d’essai ?

Une période d’essai avant d’acheter un cheval présente plusieurs intérêts :

  • Lors d’une « rencontre » avec un cheval, vous pouvez avoir un gros coup de coeur, et une envie irrésistible d’en faire l’acquisition… pour vous rendre compte, l’achat effectué, que le cheval présente des vices, des défauts, des maladies.
  • Si vous êtes un peu plus circonspect, vous aurez pris soin de bien essayer le cheval, et de contrôler son anatomie (tête, encolure, dos, appareil locomoteur, pas, trot), mais concrètement, vous n’aurez que peu de temps pour faire ces observations. La période d’essai permettra de préciser celles-ci, dans le bon ou le mauvais sens. Ainsi, vous vous protégez des mauvaises surprises (voir le cas du membre « Caspero » sur le forum Cheval Annonce).
  • De manière plus technique, la vente à l’essai permet de s’assurer que le cheval correspond bien à la carrière vers laquelle vous voulez l’orienter (balade, saut, cross, etc).
  • Vous profiterez de l’avis du vétérinaire lors de la visite, pour savoir le cheval est en bonne santé. Vous pourrez aussi en profiter pour vérifier son identification.

Spécificités d’un contrat d’essai

Sachez d’abord qu’une période d’essai ne se conclut pas forcément par une vente : l’acheteur peut décider de rendre le cheval à la fin des quinze jours ou du mois d’essai.
Un contrat doit être signé entre le vendeur et l’acheteur, mais il est vivement conseillé de prendre l’avis d’un professionnel avant de le signer !
Ce contrat couvre le vendeur contre ce qui peut arriver pendant la période d’essai et spécifie la nature de l’essai. Durant cette période, c’est toujours le vendeur qui est responsable du cheval (à moins que l’acheteur ne commette une faute ou une négligence).

Téléchargez notre exemple-type de contrat (PDF)

Pourquoi signer un contrat de vente pour son cheval ?

La vente d’un cheval est réglementée par la loi française, qu’il s’agisse d’un cheval de race ou non. Ainsi, vendre des équidés (ânes, cheval) est régi par le Code civil et nécessite la rédaction d’un contrat de vente.

Comme tous les biens de consommation classiques (baguettes de pain, vêtements…), une transaction s’effectue entre un vendeur et un acheteur. Toutefois, l’on n’achète pas un cheval comme l’on achèterait une paire de chaussures. La décision d’investir dans un équidé est une décision réfléchie et bien souvent pour un usage très particulier, comme la compétition pour ne donner qu’un exemple. Le cheval est dressé et obéit aux règles données par un cavalier. Selon l’usage souhaité, le cheval doit avoir une bonne condition physique et mentale. Le contrat de vente va permettre à un acheteur de détourner les arnaques et de faire jouer la justice lors d’un litige.

Comment bien rédiger un contrat de vente ?

Pour éviter des procédures de justice onéreuses et longues, il est bon de prendre toutes les précautions nécessaires lors d’une vente d’un équidé.

Par conséquent, le contrat de vente devra comporter les mentions suivantes :

  • Identification du vendeur (nom, prénom, coordonnées complètes, profession, professionnel ou particulier)
  • Identification de l’acquéreur et du cavalier si nécessaire (nom, prénom, coordonnées complètes, profession, niveau équestre, usage professionnel ou particulier)
  • Identification du cheval (nom, date de naissance, race, le numéro SIRE, le numéro UELN, les problèmes de santé du cheval ainsi que son niveau)
  • Usage du cheval : dans cette catégorie, l’acheteur devra spécifier les raisons de l’achat d’un équidé. Ainsi, il précisera si le cheval est destiné à la compétition, le niveau visé, la discipline (dressage, attelage, voltige, TREC, endurance, randonnée, retraite…)
  • Le prix et les conditions de paiement
  • Expertise du cheval par un vétérinaire
  • Expertise du cheval par un maréchal-ferrant (Examen de maréchalerie)
  • Essai du cheval (préciser la période d’essai)
  • Expertise par un professionnel du monde équestre
  • Les conditions de vente

A quoi faut-il penser en cas d’orage avec son cheval ?

On est souvent pris au dépourvu lorsque l’orage gronde pour savoir quoi faire avec son cheval. Quelques conseils avisés ne font jamais de mal.

Les aléas de la météo ne sont pas toujours positifs pour les chevaux. Lorsqu’on en possède, l’orage se révèle sûrement être l’un des pires dangers qui puissent arriver. Voici quelques conseils à suivre pour éviter les risques orage avec son cheval.

Des problèmes très importants en cas d’orage

L’orage est une perturbation que l’on ne peut pas contrôler, et il peut être la cause d’accidents indirects. En effet chaque année des milliers d’animaux décèdent à cause la foudre, il est alors essentiel de prendre les précautions nécessaires.

Tout d’abord, le plus grand risque lié à l’orage va être l’électrocution. En effet, la force du courant peut atteindre le corps du cheval.

Plus dangereux encore, la foudre pourrait toucher les organes vitaux comme le cerveau ou le coeur. Ceci provoquerait un décès par défaillance du système respiratoire ou nerveux ou par arrêt cardiaque.

Être alerté de l’orage

Puisque l’orage constitue une perturbation incontrôlable, il est alors nécessaire de savoir à quel moment il va tomber.

Tout d’abord il est essentiel de savoir reconnaître les premiers signes de l’orage afin d’éviter d’arriver à une situation très dangereuse pour son cheval. Il faut déjà regarder les nuages. S’ils sont en petits groupes et surmontés de tours assez petites, il est assez probable que des orages aient lieu dans la journée.

Les endroits à éviter en cas d’orage

Afin d’éviter de mettre son cheval en danger involontairement, une liste de lieux est absolument à éviter en cas d’orage.

Il ne faut pas laisser ses animaux dans un endroit dégagé à l’extérieur, comme un terrain ou un champ, ou près de structures métalliques qui attirent le tonnerre.

Du côté de la nature, les arbres, les sources d’eau – comme les étangs – ou les montagnes et lisières des forêts sont interdites. Détrompez-vous, une tente ne constitue pas un bon abri pour un cheval.

Enfin il ne faut pas qu’il soit à proximité de fenêtres, même fermées et de toutes sortes de clôtures et de câbles sous tension.

Trouver un abri sûr

Afin de protéger votre cheval, il est essentiel de le mettre à l’abri. En effet, allez dans un bâtiment à l’écart de fenêtres afin d’être le plus possible éloigné de la foudre.

Le tout est donc de s’établir dans un endroit fermé. Ainsi l’animal sera protégé et moins effrayé par la vue et le bruit du tonnerre.

Mettre ses cartes de randonnée à l’abri

Quelles protections prendre avec ses cartes de randonnée ? Quelques conseils pratiques et peu coûteux.

Quel randonneur ne s’est jamais fait surprendre par une grosse averse ou un orage sévère ? Il est souvent très difficile de lire uns carte lorsque un vent fort se lève.

Il est recommandé de mettre ses cartes à l’abri sous pochettes plastifiées. Ceci permettra leur conservation et le maintien des tracés précédents.
De plus, cela vous évitera qu’un coup de vent inopiné ne fasse s’envoler votre carte sur les oreilles de votre cheval…

Le meilleur cheval de rando, même très calme risque dans ce cas de vous faire un démarrage intempestif et il va falloir tenir en selle…
Pour cette réaction il sera très vite pardonné, mais l’expérience risquerait de vous laisser quelques mauvais souvenirs et quelques ecchymoses.

Il est plus sage de prévoir des cartes sous pochettes plastifiées qui conserveront vos précieuses pages de carte, et de plus ceci vous évitera peut-être d’emporter quelques des pastilles d’arnica… pour calmer les bleus !