L’équipement essentiel du cavalier

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Comme pour toute pratique sportive, on trouve en équitation un équipement de rigueur afin de monter à cheval de façon à la fois sécuritaire, fonctionnelle et confortable. 

La sécurité : bombe, casque et gilet de protection

La sécurité est essentielle en équitation : s’agissant d’un sport dangereux, le cavalier se doit d’être protégé lorsqu’il monte. Aussi, il est vivement recommandé d’utiliser un équipement spécifique et adapté aux besoins de cette discipline. 

L’équipement de protection de base reste la bombe ou le casque : tout comme dans la pratique de nombreux autres sports comme le vélo, le casque est l’accessoire qui permet de limiter les risques de chocs à la tête, notamment en cas de chute. Il doit être ajusté à la morphologie de la personne qui le porte, et réglé correctement afin d’être le plus efficace possible.

Les différents types de casques

Les casques d’équitation peuvent être choisis soit en fonction uniquement de votre tour de tête, dans ce cas il convient de connaitre vos mensurations et éventuellement d’en essayer plusieurs afin de savoir lequel vous est le plus confortable. 

Si vous ne trouvez pas le modèle idéal, vous pouvez aussi opter pour un casque réglable. Ce type de bombe est muni d’une petite molette qui serre ou au contraire élargit le casque qui ainsi va s’adapter parfaitement à votre tête. C’est d’autant plus pratique lorsqu’il est destiné à l’usage d’un enfant : cela permet de le faire évoluer avec lui, et limite le risque de se retrouver entre deux tailles.

Attention toutefois, car lors d’un choc, la structure du casque peut être endommagée, et il peut perdre de son efficacité : il est essentiel alors d’en changer

Le gilet de protection

Le gilet de protection a beaucoup évolué au fil des années, pour devenir dans certains cas un incontournable de l’équitation. Il permet en effet de limiter les risques de blessures dorsales lors des chutes, et est approprié pour les débutants comme pour les cavaliers confirmés. 

Il existe en différents niveaux d’efficacité, allant d’une sécurisation simple (pour les jockeys par exemple) à un outil sûr en cas d’activité à risque comme le concours complet ou bien pour les débutants. 

On trouve des gilets de sécurité englobant toute la cage thoracique de celui qui le porte : il peut alors soutenir à la fois le dos, mais aussi l’abdomen et les organes internes. Sinon, certains plus rudimentaires ne protègent que le dos. D’autres sont spécialement étudiés pour répondre aux besoins d’une discipline en particulier, comme c’est le cas des gilets de cross.

Enfin, on peut également noter qu’il existe des gilets airbags, qui se gonflent lors d’une chute, et qui offrent une protection totale et utile pour le cavalier.

Au même titre que pour les casques, il est recommandé de changer de gilet à la suite d’un choc qui aurait pu altérer sa structure. 

Pantalons d’équitation et prêt-à-porter

Globalement, les marques équestres regorgent de modèles en ce qui concerne le prêt-à-porter des cavaliers : polos, chemises ou haut à l’effigie d’une enseigne, en passant par les incontournables chaussettes d’équitation, que l’on recherche une tenue de concours habillée ou un ensemble pour aller simplement s’occuper de ses chevaux, les marques proposent de tout.

S’il n’est pas de tenue unique pour monter à cheval, il est toutefois recommandé de pratiquer l’équitation avec des vêtements adaptés. Le pantalon d’équitation est un must-have : il est en effet souvent réalisé dans une matière agréable à porter, mais également résistante et renforcée aux endroits de frottement, notamment aux jambes. Il assure au cavalier du confort, et se décline en toutes couleurs et textiles pour s’ajuster à la fois à la discipline et aux goûts de chacun.

Des vêtements d’équitation existent pour chaque saison afin de protéger le cavalier, et de lui permettre une pratique de l’équitation efficace. Les vestes et manteaux sont prisés durant les saisons froides. Souvent pourvus de grandes poches, conçus dans une matière résistante et imperméable, et quelques fois dotés d’une fermeture éclair à deux sens, ils permettent de monter à cheval de manière agréable et sans souffrir du froid. Au cours de l’hiver, le choix de la tenue est particulièrement crucial pour continuer la pratique de l’équitation dans les conditions les plus favorables. 

Par ailleurs en concours, une tenue vestimentaire adéquate peut être exigée : veste, chemise, pantalon, bottes voire gants (obligatoires en dressage), lorsqu’on souhaite participer à certaines épreuves il est essentiel d’adapter sa garde-robe.

Les bottes et les mini-chaps

Les chaussants font partie du matériel de base du cavalier, presque au même titre que la bombe. En effet, il est recommandé de monter avec des chaussures fermées, afin d’éviter certains risques, notamment de coincer son pied dans l’étrier de la selle, ou encore pour protéger correctement le pied. 

Les bottes et les boots sont donc les plus répandues pour monter à cheval. Dans le cas des boots, et afin de compléter la tenue du cavalier, il est courant de porter également des mini-chaps, qui viennent préserver le bas de la jambe des frottements répétés, au même titre que le ferait la botte.

Les accessoires du cavalier

Parmi les accessoires du cavalier, on retrouve bien sûr les gants : essentiels en hiver, ils permettent également de protéger les mains lors des saisons plus chaudes. Ils sont souvent renforcés aux endroits de passage des rênes et possèdent quelques fois une partie antidérapante pour assurer une meilleure tenue et faciliter la pratique de l’équitation.

Des vêtements adaptés à sa discipline équestre et à son style vestimentaire

Bien sûr l’équipement du cavalier est aussi dépendant de la discipline qu’il exerce. Vêtements ergonomiques pour gagner de la vitesse, le jean, un classique de l’équitation western, une tenue habillée pour concourir en dressage, ou au contraire imperméable et pratique pour la randonnée, chaque activité possède ses besoins bien spécifiques ou ses codes vestimentaires. 

Mais cela n’empêche pas de laisser le choix au cavalier selon ses goûts.

Equita Lyon 2023, le rendez-vous des cavaliers

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Equita, c’est le rendez-vous annuel pour les amoureux d’équitation. Cette année encore, exposants, éleveurs, artistes et compétiteurs viennent s’y retrouver pour le plaisir de chacun. 

Dès le 1er novembre 2023, le salon ouvre à nouveau ses portes à Eurexpo Lyon pour 5 jours, afin de permettre à tous les amateurs du monde du cheval d’échanger autour de leur passion commune. 

Depuis sa création en 1995, le salon Equita est axé à la fois sur le divertissement et l’information, et c’est aussi un lieu incontournable pour acheter du matériel ou des articles pour son animal.

Equita Lyon : l’équitation autrement

Equita Lyon est avant tout un salon unique pour permettre aux visiteurs d’assister à des compétitions, de connaitre des disciplines ou des races de chevaux peu médiatisées ou encore de pouvoir s’émerveiller devant des spectacles. 

Des compétitions et des chevaux

Au programme de cette édition, vous retrouverez comme chaque année toute une partie dédiée à l’équitation classique, avec des compétitions de CSO (et notamment la coupe du monde Longines FEI de jumping), du dressage, de l’attelage ou encore de l’equifeel.

L’équitation western a également sa place au salon, avec des démonstrations de barrel racing, de travail du bétail et de mountrain trail, ainsi que des épreuves internationales comme le NRHA European Derby de reining.

Bon nombre d’éleveurs sont aussi présents afin de faire connaitre leurs chevaux et leurs spécificités. C’est l’occasion pour tout un chacun d’en apprendre davantage sur les différentes races d’équidés, et de voir évoluer certains animaux d’exception.

La culture à Equita Lyon

Le monde du divertissement est largement représenté, avec de nombreux artistes et des animations tout au long de la semaine, mais aussi des moments uniques comme le spectacle Féria ou encore le cabaret équestre.

La culture et le partage de connaissances sont toujours au rendez-vous, avec des conférences sur la santé, l’éducation ou le comportement équin. Ce type d’ateliers offre la possibilité d‘échanger et de sensibiliser les cavaliers ainsi que les novices aux besoins fondamentaux des chevaux.

Le shopping !

Évidemment, aucun cavalier ne vient à Equita sans repartir avec son lot de matériel, équipement ou de bonbons pour chevaux. Selliers, fabricants d’aliments ou encore de soins spécialisés, c’est l’occasion de rencontrer des commerçants et de recevoir des conseils sur mesure.

D’ailleurs, pour beaucoup d’exposants, Equita Lyon est avant tout un formidable moyen d’entrer directement en contact avec leur clientèle et de prendre le temps de discuter avec eux de leurs véritables besoins. C’est un moment unique qui permet de parler avec d’autres passionnés et d’échanger de nombreuses informations, toujours dans la bonne humeur.

Difficile de ne pas être happé par l’ambiance chaleureuse, la multitude de produits et d’articles dans lesquels vous baignez durant toute une journée sans repartir les bras chargés de cadeaux et de goodies pour vous et votre cheval !

Venez à la rencontre d’Equitanet !

Equita Lyon, c’est 750 exposants, 140 000 m2, 11 carrières… Et Equitanet ! Venez nous retrouver comme chaque année afin de parler de vous et de votre compagnon ! Ce sera l’occasion d’échanger en exclusivité avec notre équipe. Comme toujours, nous serons ravis de prendre le temps de discuter avec vous.

Nous vous donnons donc rendez-vous au salon Equita Lyon, à Eurexpo Lyon, du mercredi 1er au dimanche 5 novembre 2023.

Nouveau site Equitanet !

Depuis plus de 20 ans, l’équipe Equitanet est à votre disposition pour tous vos besoins en assurances équestres. Aujourd’hui, notre site internet fait peau neuve afin de vous proposer un support plus clair, plus fluide et plus fonctionnel dans lequel vous pourrez retrouver toute notre gamme de produits, de nombreuses informations, et toujours notre tarificateur d’assurance pour votre cheval.

Mais connaissez-vous Equitanet, les garanties que nous offrons et nos avantages ? Profitons de l’occasion pour vous les présenter.

Qui sommes-nous ?

Equitanet, c’est avant tout une équipe de passionnés d’équitation, qui vous propose depuis 21 ans les meilleures solutions d’assurance pour vous et votre cheval. 

Nous sommes situés à proximité de Lyon, mais notre force est de pouvoir vous offrir un service à distance avec tous les avantages d’un assureur local : connaissance de nos clients, écoute, conseil et recherche des solutions les plus adaptées à votre demande sont nos points forts.

Nous disposons d’une équipe consacrée uniquement aux particuliers, d’une autre pour les clients professionnels et d’un service sinistre spécifiquement dédié pour répondre à l’ensemble de vos besoins le plus rapidement et le plus efficacement possible. 

Nous cherchons constamment à vous épauler pour trouver les solutions d’assurance qui vous correspondent que ce soit en termes de qualité ou de prix, mais aussi en cas de sinistre.

Un service de qualité, avec un suivi personnalisé des dossiers et une réactivité importante nous permettent de proposer à notre clientèle un accompagnement unique dans les bons comme dans les mauvais moments. La distance n’est aucunement une contrainte pour nous, et nous sommes disponibles 6 jours sur 7 par téléphone ou mail, que ce soit pour un renseignement, un devis, une souscription ou la déclaration d’un sinistre.

Notre expérience dans le domaine de l‘assurance équestre et la fiabilité de nos produits font sans conteste d’Equitanet une valeur sûre !

Que retrouver dans notre nouveau site internet?

Notre nouveau site vous permettra de retrouver l’essentiel de nos prestations en quelques clics. Vous pourrez consulter nos articles de blog, ainsi que différentes informations concernant notre propre actualité et celle du monde équestre. 

Bien sûr, vous pourrez également découvrir l’ensemble de notre gamme de produits d’assurances, comme nos garanties pour les chevaux, les cavaliers propriétaires, mais aussi les professionnels.

Zoom sur nos offres principales

Nos offres chevaux

Lorsqu’on est cavalier propriétaire, notre compagnon est bien plus qu’un simple animal : c’est un véritable membre de la famille. Cependant, en cas de blessure, de coliques ou de maladie, les frais vétérinaires peuvent vite être une contrainte. Garantir son cheval est donc devenu quasiment incontournable afin de prévenir les grosses factures et de pouvoir assurer le bien-être de son animal quoi qu’il arrive. 

Pour répondre à votre besoin, Equitanet propose une gamme complète d’assurances pour les chevaux, parmi lesquelles :

  • Les assurances de Responsabilités Civiles : essentielles aux cavaliers propriétaires, elles sont souvent malheureusement négligées ou inconnues. Pourtant, elles permettent de garantir les dommages que votre cheval et vous-même pourriez causer à autrui et doivent par conséquent être l’une de vos priorités ; 
  • L’assurance en mortalité de son cheval : la perte de son compagnon pour un cavalier est une épreuve particulièrement difficile durant laquelle il est important d’être soutenu : nous sommes donc à l’écoute de nos clients pour les accompagner, les conseiller et leur permettre de franchir ce douloureux obstacle. L’assurance mortalité permet de couvrir la valeur financière de votre animal et de vous dédommager en cas de décès de celui-ci. Nous proposons également une option pour indemniser l’incinération de votre équidé ;
  • Les garanties en cas d’accident : elles permettent de vous aider à régler les factures du vétérinaire si votre cheval est victime d’un dommage : chute, blessure… ;
  • L’assurance des frais vétérinaires liés aux coliques : première cause de mortalité chez les équidés, les coliques peuvent avoir de lourdes répercussions pécuniaires pour le propriétaire, notamment si elles nécessitent une chirurgie ;
  • La couverture des frais vétérinaires en cas de maladie, par exemple s’il souffre d’une pathologie virale ou bactérienne .

Faire un devis Assurance cheval Equitanet >> https://www.equitanet.com/devis

Les assurances des cavaliers

Mais Equitanet n’assure pas uniquement les chevaux ! Nous proposons également toute une gamme pour les propriétaires et les cavaliers.

Bien sûr, nous pouvons garantir votre moyen de transport, comme votre véhicule, votre van ou votre camion. Nous avons différentes solutions pour vous assurer sur la route, afin de voyager en toute sécurité ! 

En plus de cela, nous disposons d’autres types de garanties, comme pour votre habitation par exemple, mais aussi pour vous, en tant que cavalier. En effet, il est essentiel de vous protéger personnellement, une chute étant malheureusement vite arrivée en équitation. Nous pouvons vous fournir des solutions pour vous, si vous êtes victime d’un accident.

Demandes un devis d’Assurance cavalier Equitanet >> https://www.equitanet.com/assurance-cavalier

Et les professionnels ?

Nous proposons également toute une gamme de produits destinés spécifiquement aux professionnels de l’équitation. Forts de notre expérience, nous avons des solutions de garanties pour de nombreuses activités professionnelles, mêmes celles les moins connues.

Nous pouvons vous conseiller pour garantir :

  • Votre Responsabilité Civile Professionnelle, essentielle pour votre activité et les dommages que vous pourriez causer à quelqu’un ;
  • Les locaux de votre structure équestre ;
  • Vos véhicules professionnels ou votre flotte, 
  • Votre Protection Juridique Professionnelle, un incontournable pour vous aider en cas de litige ;
  • Vos besoins en prévoyance, assurance santé, ou encore mutuelle professionnelle notamment pour vos salariés.

N’hésitez pas à nous contacter par téléphone ou par mail afin que nous puissions faire le point sur votre recherche et trouver ensemble les solutions les plus adaptées.

Faire une demande d’assurance Professionnels équestre Equitanet >> https://www.equitanet.com/assurance-professionnels-du-cheval

Retrouvez-nous sur le nouveau site d’Equitanet

Quel que soit votre cas, que vous soyez cavalier, propriétaire d’un cheval ou professionnel du monde équestre, n’hésitez pas à visiter notre tout nouveau site internet, et à prendre contact avec nous pour plus de renseignements sur nos prestations. 

Nos équipes sont également à votre disposition par téléphone au 04.74.63.83.32, mais aussi par mail. Ensemble, nous pourrons vous apporter des conseils, étudier votre situation et vous proposer les solutions les plus adaptées à votre besoin.

https://www.equitanet.com

Chevaux mutilés : le mystère perdure

Comme nous l’avions évoqué dans notre précédent article, depuis plusieurs mois de nombreux actes de cruauté envers les chevaux sont recensés sur le territoire français. Et si les inquiétudes des propriétaires d’équidés sont actuellement plus centrées sur les problèmes d’organisation liés à la crise COVID, ils n’oublient pas que ces actes continuent, et ce malgré le contexte sanitaire.

Moins de mutilations depuis l’automne

Depuis septembre, les cas de mutilations d’équidés semblent en baisse, néanmoins ils restent toujours présents. Au cours des derniers mois, pas moins de 200 enquêtes ont été ouvertes pour plus de 400 signalements. 

Il s’avère que de nombreuses affaires se sont révélées avoir une cause accidentelle ou naturelle. Cependant l’intervention humaine demeure fortement suspectée dans 1 cas sur 6. Les investigations sont donc toujours en cours. Les procédures seront probablement longues, plusieurs pistes étant encore explorées, comme celles de jeux morbides, de pratiques satanistes, ou d’une bande organisée. 

Par ailleurs, l’affaire semble aussi s’élargir à d’autres acteurs du monde agricole, quelques signalements de bovins mutilés ayant également été recensés.

Les aides aux particuliers et aux professionnels du monde équestre

Le ministre de l’Agriculture, Julien Denormandie, a demandé la mise en place d’un numéro vert le 9 septembre dernier. Ce numéro, le 0 800 738 908, permet à des agents spécialisés de l’IFCE (Institut Français du Cheval et de l’Équitation) d’offrir un accompagnement et un soutien psychologique aux propriétaires d’équidés.

Par ailleurs, particuliers comme professionnels peuvent aussi compter sur le renfort des agents de l’État. Depuis plusieurs mois, des patrouilles sont en effet réalisées par les gendarmes, ainsi que des campagnes de sensibilisation.

Certaines collectivités territoriales vont même au-delà, en proposant des subventions pour épauler les professionnels du secteur hippique et les aider à s’équiper en moyens de surveillance. C’est notamment le cas de la Région Rhône-Alpes qui a alloué un budget de 100 000 € pour l’installation de caméras.

Les particuliers et gérants de structures n’ont cependant pas attendu le soutien de l’État pour assurer la protection de leurs animaux. De nombreuses patrouilles privées ont vu le jour, quelques fois avec l’appui de personnes nomades extérieures. Ces rondes, pour la plupart nocturnes, sont tolérées par les gendarmes dans la mesure où les groupes ne tentent pas de se faire justice eux-mêmes et qu’ils n’utilisent pas d’armes.

Une surveillance compliquée et de nouveaux stress

Beaucoup de propriétaires d’équidés semblent aujourd’hui épuisés par la situation en raison de la progression difficile des enquêtes et de la protection accrue de leurs chevaux.

Et en plus du stress qu’ils subissent, le retour du confinement soulève un certain nombre de questions, notamment celle sur la pérennité des surveillances nocturnes. 

Pour le moment, aucune autorisation officielle n’a en effet été prévue pour les détenteurs d’équidés, hormis l’attestation concernant la possibilité de leur apporter les soins indispensables. Certaines préfectures, comme celle de la Haute-Vienne, sont néanmoins plus enclines à la souplesse et la tolérance en raison des crimes commis sur les animaux au cours des derniers mois.

Précédent article sur le sujet :

Chevaux mutilés : La mystérieuse affaire qui inquiète les cavaliers

Depuis plusieurs semaines, une vague de stress inonde le monde équestre suite au recensement de nombreux actes de cruauté sur des équidés en France. Oreilles coupées, lacérations, mutilations diverses et assassinats, l’inquiétude monte auprès des propriétaires de chevaux. 

Historique des agressions d’équidés

Les premiers cas répertoriés en France

Contrairement à ce qu’on pourrait penser, ce phénomène n’est pas nouveau. En effet, le premier cas a eu lieu en 2014 et s’est déroulé dans la Loire. 

L’équidé retrouvé décédé par ses propriétaires, présentait une oreille sectionnée ainsi que des mutilations d’un globe oculaire et des mamelles. Par ailleurs durant la même nuit, d’autres animaux (deux brebis et un mouton) furent sauvagement tués.

Un rituel satanique est à l’époque évoqué, en raison du type de mutilations réalisées et de la date (quelques jours avant la Saint Winebald, une fête satanique).

Par la suite, plusieurs cas isolés ont également été répertoriés (dans le Lot et le Puy-de-Dôme), en novembre 2017, décembre 2018 et juin 2019. Ces faits montrent de nombreuses similitudes avec celui de 2014, comme la présence là encore d’une oreille coupée, les animaux ayant tous été trouvés sans vie.

Une recrudescence des mutilations en 2020

Tout s’accélère en 2020, avec l’apparition de nouveaux cas dès le mois de février. La localisation géographique des phénomènes est si large qu’ils sont constatés quasiment sur tout le territoire français. Plus de 30 agressions au total cette année, dont une vingtaine rien qu’en août. 

Les mutilations quant à elles évoluent. Au début chirurgicales, les lésions mentionnées tendent à devenir plus grossières. Si l’oreille sectionnée reste assez fréquente, de nombreuses blessures sont faites au cou, aux yeux, aux flancs, aux membres, et aux parties génitales. Les animaux ne sont pas systématiquement mis à mort, même si dans la majorité des cas en raison de l’importance des plaies, l’intention de tuer est bien présente. 

La variabilité des modes opératoires laisse à penser que ces actes ne relèvent pas d’un seul et même individu. La psychose gagne depuis les propriétaires de chevaux, qu’ils soient professionnels ou particuliers.

Des cas similaires à l’étranger

Quelques affaires semblables ont également été déclarées dans les pays limitrophes. Celles-ci ont amené les enquêteurs à constater que des précédents avaient aussi eu lieu à l’étranger. C’est par exemple le cas de celui que la presse surnommait « l’éventreur de chevaux », qui sévissait au Royaume-Uni durant les années 80 et 90. Là encore, les preuves et indices étant quasi inexistants, de nombreuses thèses étaient évoquées (entre autres celle de l’intervention de plusieurs individus isolés). Mais l’enquête n’a malheureusement jamais abouti. 

Où en sont les enquêtes en France ?

Pour le moment, aucune piste n’est exclue. En effet, les sévices ont lieu la plupart du temps la nuit, alors que les animaux victimes ne bénéficient pas d’une surveillance rapprochée de leur propriétaire. Ne disposant pas de traces ADN exploitables, de témoignages concrets concernant l’identité des agresseurs, ni de photos ou de vidéos, il est difficile pour la police de faire son travail.

Les 153 enquêtes en cours ont été ouvertes localement. Mais depuis peu, elles sont suivies par la Police Judiciaire, le Service Central du Renseignement Territorial (SCRT) ainsi que l’Office Central de Lutte contre les Atteintes à l’Environnement et à la Santé Publique (OCLAESP). 

Les recherches ont pu avancer en raison de l’attaque de la nuit du 24 au 25 août au Ranch de l’Espoir dans l’Yonne. Le propriétaire de ce refuge pour animaux a surpris 2 individus qui, armés d’une serpette et non cagoulés, ont tenté de s’en prendre à lui ainsi qu’à ses chevaux. Il s’en est sorti avec une blessure au bras, ses équidés présentant quelques plaies. Ayant vu l’un de ses assaillants, la victime a pu établir un portrait-robot largement diffusé par la suite sur les réseaux sociaux. 

Malheureusement, il n’y a pour le moment toujours aucun indice concret sur l’identité et les motivations des agresseurs. Néanmoins, les moyens mis en œuvre pour tenter de les trouver sont conséquents : sensibilisation dans les territoires, drones, hélicoptères de surveillance, bornage téléphonique, analyses ADN et scientifiques sont en effet déployés. 

La solidarité entre propriétaires de chevaux

Les détenteurs et amoureux d’équidés font preuve d’une forte solidarité. De nombreux groupes sur les réseaux sociaux ont vu le jour pour relayer les informations importantes et les alertes. C’est notamment le cas de « Justice pour nos chevaux », créé sur Facebook par la propriétaire d’une des juments tuées durant le mois d’août et rassemblant plus de 20.000 membres.

L’entraide est également très présente pour surveiller les pâtures. Les nomades (tels que les camping-caristes) proposent leurs services afin de garder les animaux gracieusement et les voisins font généralement preuve d’une vigilance accrue.

Des patrouilles sont organisées dans de nombreuses régions afin de traquer les agresseurs et rodeurs. La gendarmerie les tolère, mais rappelle à ne pas se faire justice soi-même et surtout ne pas intervenir et prévenir les autorités lors de toute activité suspecte.

Néanmoins, elle craint aussi les potentiels débordements, l’inquiétude et la colère chez les propriétaires les poussant dans certains cas à s’armer de fusils durant ces rondes. D’ailleurs, cette angoisse grandissante alimente la propagation de fausses informations, en particulier sur les réseaux sociaux.

Quelles recommandations pour les propriétaires d’équidés ?

La Gendarmerie Nationale recommande vivement aux propriétaires de surveiller quotidiennement leurs équidés afin d’assurer une présence régulière auprès des animaux, vérifier qu’aucune intrusion douteuse n’ait eu lieu et dissuader les agresseurs. 

Il est préférable d’éviter de laisser le licol aux chevaux pour qu’ils ne deviennent pas des proies trop faciles. 

L’installation de caméras de chasse peut également s’avérer utile afin d’être alerté en cas de mouvements étranges, mais aussi pour prendre des photos ou des vidéos dans le but d’approfondir les enquêtes.

Il est important de rester vigilant face à ces gestes et de signaler tout comportement suspect ou tout acte malveillant en appelant le 17.

Quelles sont les sanctions encourues ?

Suite à ces attaques, de nombreux acteurs de l’équitation ont été profondément touchés, et c’est bien sûr le cas de l’ensemble de l’équipe d’Equitanet.

Certains organismes ont décidé de se porter partie civile au côté des propriétaires des chevaux victimes, tels que la Fédération Française d’Equitation, l’Ordre des Vétérinaires, la Société Nationale pour la Défense des Animaux, la Fondation Brigitte Bardot et 30 Millions d’Amis pour ne citer qu’eux.

Pour acte de cruauté commis sur un animal, les agresseurs encourent deux ans d’emprisonnement et 30.000 € d’amende.

Covid-19 : une question sur votre assurance ou sur la situation ? Contactez-nous !

Suites aux mesures prises par le gouvernement samedi soir concernant le Covid-19, toute l’équipe d’Equitanet reste à votre disposition par téléphone ou par email pour toute question.

Nous avons aménagé nos conditions de travail afin de pouvoir continuer à vous accompagner au quotidien du mieux que nous le pouvons.

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Réglementation de l’attelage payant

L’usage d’un attelage permet de transporter des passagers. On parle d’attelage rémunéré dès lors que ce transport est effectué moyennant un rétribution financière. C’est une activité qui se développe notamment pour des circuits touristiques dans les centres-villes ou lors de festivités (mariages, fêtes locales, spectacles…). Toutefois, il existe une réglementation propre à l’attelage rémunéré.

La réglementation concernant le meneur de l’attelage

Il faut rappeler que le meneur n’est pas un cavalier mais un conducteur destiné à circuler sur la chaussée. En ce sens, il est soumis au respect du code de la route, y compris concernant la consommation d’alcool.

À savoir : Lorsque l’on est à cheval, on est également soumis au Code de la route, comme tout « conducteur ». Cependant, lorsque l’on est à pied à côté de son cheval, on est considéré comme« piéton ».

Il n’existe pas de qualification ou permis de conduire spécifique à la conduite d’un attelage sur la route. Cependant, le retrait du permis de conduire classique entraîne l’interdiction de mener un attelage.

Un niveau minimum de formation en matière d’attelage est tout de même requis. Le Galop 5 Attelage délivré par la FFE autorise la conduite d’un attelage tracté par un seul cheval, tandis que le Galop 8 Attelage autorise de mener un véhicule attelé en paire. Il existe également des formations spécifiques (comme la formation Meneur Accompagnateur du Tourisme Équestre).

La réglementation concernant le véhicule attelé

Comme pour les meneurs, les véhicules attelés sont soumis aux prescriptions du code de la route : respect des feux, règles de priorité, stop, sens de circulation…).

  • Un attelage ne peut comporter plus de 4 chevaux en file et 3 chevaux de front (soit plus de 2,95 mètres en largeur).
  • Les Véhicules à Traction Animale doivent être muni d’un dispositif de freinage.
  • Entre la tombée et le lever du jour, un attelage en mouvement doit utiliser les feux suivants afin d’être visible à une distance de 200 m : à l’avant, un feu blanc, et à l’arrière, un feu rouge. Les indicateurs de directions ne sont pas encore obligatoires.
  • Outre les feux, les véhicules attelés doivent disposer de 2 catadioptres rouges à l’arrière (visibles, triangulaires, et homologués). Par ailleurs, le véhicule, mais aussi le meneur et les chevaux doivent être visibles et signalés par des bandes réfléchissantes.

L’importance d’une assurance pour l’attelage rémunéré

L’attelage rémunéré est une activité professionnelle au même titre qu’un centre équestre ou un élevage.

Cette activité requiert donc d’avoir une forme juridique pour encaisser les prestations et la souscription d’une Responsabilité Civile professionnelle. Celle-ci permettra de couvrir les potentiels dommages corporels ou matériels causés parle cheval ou la calèche. En effet, en circulant sur la chaussée, un attelage peut rencontrer piétons, cyclistes, automobilistes… Les accidents, bien que rares, peuvent arriver. Faites un devis d’assurance en un clic !

Comment transformer un camion VL en camion porte chevaux ?

Pour tout cavalier ou propriétaire, le transport de son cheval est une étape obligatoire, que ce soit pour un changement d’écurie, une visite à la clinique ou bien les sorties en compétition. Transformer un camion VL d’occasion en camion porte-chevaux est une des opportunités qui s’offrent à vous.

Il est possible de réaliser cet aménagement soi-même ou bien de le confier à un professionnel. Si vous choisissez la première option, des sites internet spécialisés proposent à la vente l’ensemble des pièces détachées indispensables. Toutefois, il est important d’effectuer cette transformation en respectant certaines règles de sécurité et d’hygiène afin de garantir les meilleures conditions de transport à votre cheval.

Les critères pour transformer un camion VL en camion porte-chevaux

Tout véhicule destiné au transport d’équidés doit répondre aux critères suivants :

  • Eviter les blessures et souffrances et assurer la sécurité des chevaux.
  • Protéger le cheval contre les intempéries, les températures extrêmes et leurs variations.
  • Éviter que les animaux puissent s’en échapper ou tomber, sans pour autant que leurs mouvements soient entravés.
  • Présenter une aération suffisante selon l’espace destiné à accueillir les chevaux.
  • Pouvoir facilement nettoyer et désinfecter le camion porte-chevaux.

Quels aménagements faut-il prévoir ?

Pour cela, vous devrez réaliser les aménagements suivants :

  • Installer des cloisons afin de séparer les équidés.
  • Mettre un plancher antidérapant de type Granilastic.
  • Placer des protections latérales en caoutchouc.
  • Installer un équipement de chargement et de déchargement (pont arrière ou latéral)
  • Disposer des volets d’aérations adaptables à la température extérieure.
  • Vous pouvez également équiper votre camion d’un système d’éclairage intérieur et de ventilation, ainsi que d’une caméra de surveillance des chevaux reliée au tableau de bord.

Enfin, il est également nécessaire de penser à choisir des matériaux légers au risque de dépasser le PTAC (poids total autorisé en charge) autorisé sur ce type de véhicule et inscrit sur sa carte grise.

Par ailleurs, durant le transport, le cheval peut ressentir un stress et une fatigue supplémentaire. Il est donc nécessaire, en plus de réaliser des aménagements de qualité, d’adopter une conduite souple afin d’assurer le confort de votre cheval.

Quelles démarches faut-il effectuer lorsqu’on transforme un camion en porte-chevaux ?

La transformation d’un camion VL en camion porte-chevaux nécessite la modification de la carte grise du véhicule, pour un passage de Fourgon à Bétaillère. Le coût est identique à celui de l’immatriculation d’un véhicule d’occasion si la transformation est faite après acquisition mais avant immatriculation.

Pour en établir la demande, il est nécessaire de vous munir du procès-verbal de réception à titre isolé (RTI) délivré par la Dreal ou d’un certificat de carrossage.

La modification du véhicule sans mise à jour de la carte grise peut entraîner une amende pouvant aller jusqu’à 750 €. De plus, le contrôle technique fera apparaître une anomalie.

Créer son entreprise équestre sous le statut d’activité agricole : la réglementation

Depuis 2005, la plupart des activités de la filière équine sont reconnues en tant qu’activités agricoles et définies dans le code rural. La réglementation à suivre est donc précise pour créer son activité équestre sous le statut d’activité agricole.

Quelles activités sont concernées par le statut d’activité agricole ?

Les activités liées aux équidés sont nombreuses :

Élevage, installation d’un centre équestre, entrainement de chevaux de courses, débourrage, dressage, entraînement des chevaux de sport ou de loisir… Toutes ces activités sont reconnues sous le statut agricole.

Au contraire, les spectacles équestres, l’enseignement de l’équitation sans fourniture des chevaux ou les prestataires de services (maréchaux, vétérinaires…) sont exclus de cette définition.

La réglementation relative à la création d’une activité équestre en activité agricole

L’installation d’une activité équestre doit avoir un caractère professionnel et est soumise à de nombreuses réglementations :

  • L’inscription au Centre de Formalités des Entreprises (CFE) est nécessaire pour la création d’une activité. L’affiliation à la MSA (régime social agricole) en découle.
  • L’autorisation d’exploitation des biens agricoles est à demander auprès de la Direction Départementale des Territoires et de la Mer (DDTM).
  • La déclaration d’ouverture est quant à elle à effectuer auprès de la Direction départementale de la Cohésion Sociale et de la protection de la population.
  • Les établissements recevant du public (ERP) doivent faire également une déclaration d’ouverture à la mairie et respecter des règles de sécurité et d’accessibilité spécifiques.
  • L’identification des équidés est obligatoire et est gérée par les Haras Nationaux via la base SIRE. La déclaration du lieu de détention des équidés est, elle aussi, obligatoire. La démarche se fait auprès de l’Institut Français du Cheval et de l’Équitation (IFCE).
  • Les bâtiments abritant des équidés sont soumis au Règlement Sanitaire Départemental (RSD) qui fixe les normes environnementales et les distances d’éloignements des habitations, cours d’eau…
  • La gestion sanitaire des installations est stricte et un registre sanitaire des animaux doit être tenu à jour.
  • D’autres déclarations sont spécifiques à l’installation d’un centre équestre dispensant un enseignement, cartes professionnelles d’éducateur sportif notamment.
  • Enfin, une assurance Responsabilité Civile professionnelle doit être souscrite au démarrage de l’activité.

Le Guide pour créer son activité d’élevage équestre

Ce document, réalisé par la Chambre d’agriculture de Bretagne, donne des indications complètes sur la création d’une activité équestre. Le coût des investissements liés aux infrastructures ainsi que les charges d’une telle exploitation sont également indiqués.

Qu’est ce que la colique digestive ?

Qu’est ce que la colique digestive ? Comment peut-on la prévoir, que faut-il éviter pour que votre cheval soit sujet ? Toutes les réponses à vos questions.

La colique est la première cause de décès chez les chevaux. Une colique est un trouble abdominal ou intestinal du cheval. Très douloureux pour les chevaux.

D’où provient une colique digestive ?

La colique est un symptôme d’origine digestive, c’est-à-dire que la douleur provient de l’estomac ou de l’intestin. Elle est souvent due a un dysfonctionnement intestinal.

La colique est la plupart du temps due à la torsion ou au déplacement d’un segment de l’intestin, mais aussi par la présence de parasites qui peuvent provoquer une dégradation de la paroi intestinale et provoque une inflammation de celle-ci ou même peut provoquer un ulcère.

Il est très important « d’étudier » son cheval à chaque moment de la journée. Un cheval montre des signes révélateurs de colique, il faut savoir les décrypter. Un cheval qui entre en colique peut se montrer très désagréable, agressif dû à la douleur.

Quelques signes sont à prendre en compte :

  • agressivité
  • perte d’appétit
  • sueur importante
  • gratte le sol avec son antérieur
  • se roule
  • se regarde ou se mord les flancs
  • plus de déjections ou très peu

La colique est très douloureuse pour les chevaux et beaucoup de signes peuvent vous alerter, c’est pourquoi il faut prévenir immédiatement son vétérinaire afin d’intervenir au plus vite.

Comment la prévenir ?

La colique étant principalement d’origine digestive, il faut porter une attention toute particulière à l’alimentation de son cheval.

Nourrir son cheval aux grains est une des principales cause de mauvaise digestion, en effet le grain est lourd et difficile à digérer par l’équidé, c’est pourquoi il est très important de calculer ses rations en fonction de son poids, de son activité et de les fractionner et espacer au maximum.

Mais aussi il faut choisir un granulé de qualité, toujours en fonction de son cheval et de l’effort demandé. Du foin (en ration), de l’eau à volonté et une vermifugation régulière son nécessaire.

Suivant les coliques, vous pouvez les calmer avec un simple traitement prescrit par votre vétérinaire, mais il y a des coliques qui ne se calment pas même avec un traitement et à ce moment-là il faut emmener son cheval au plus vite en clinique vétérinaire pour une opération. C’est pourquoi il est très important de se renseigner sur l’adresse de la clinique la plus proche de votre écurie car au moment venu vous saurez comment réagir.