Quels sont les risques dans un centre équestre ?

De multiples risques menacent de porter atteinte au bon fonctionnement d’un centre équestre. Il est primordial de bien étudier les risques liés à votre centre équestre et obtenir un contrat d’assurance couvrant ces différents risques.

Quels sont les risques dans un centre équestre ?

De multiples risques menacent de porter atteinte au bon fonctionnement d’un centre équestre. C’est pourquoi une assurance centre équestre permet de se prémunir contre tout type de danger.

Au sein d’un centre équestre, de nombreux facteurs peuvent amener à un sinistre. L’état des locaux, la santé des chevaux confiés ou encore le bien-être des élèves peuvent être des sources de problèmes si un accident vient à survenir. Un centre équestre doit donc à la fois prévenir les dégâts qui peuvent toucher le bâtiment qui l’abrite, les animaux qui y résident et les personnes qui s’y rendent.

Voici les principaux risques liés à l’activité équestre :

  • La dégradation des locaux, par exemple lors d’un incendie ou d’une inondation
  • Les vols au sein des bâtiments
  • La mort ou la blessure d’un cheval, confié ou non
  • La chute de cavaliers, pouvant provoquer de lourds frais médicaux,
  • Les accidents pouvant survenir lors de concours ou d’entraînements extérieurs au club…
  • L’annulation de sources de revenus pour le centre, comme les stages…

Certains de ces dangers peuvent être particulièrement coûteux s’ils ne sont pas couverts par une compagnie d’assurance. En effet, la mort accidentelle d’un cavalier peut mener à des situations graves et extrêmes, avec la possibilité pour la famille de la victime de poursuivre en justice le dirigeant d’un centre équestre.
L’équitation étant une activité sportive à haut risque, mieux vaut donc opter pour une assurance qui permet de couvrir juridiquement l’ensemble des personnes qui y sont liées, de près ou de loin, contre tous ces dangers. Grâce à elle, les propriétaires des chevaux, les visiteurs, les employés, les élèves et les stagiaires sont tous couverts.

Quelles garanties offrent une assurance pour centre équestre ?

Le seul moyen de protéger les biens et les personnes d’un accident est de souscrire à une assurance, qui offre de multiples garanties et permet ainsi de garantir un dédommagement conséquent en cas de sinistre.
En possession d’une responsabilité civile professionnelle, le propriétaire d’un centre équestre peut exercer son activité en toute sérénité.
De plus, un contrat de ce type peut également couvrir de nombreux autres risques : dommages à l’exploitation, aux bâtiments et aux biens meubles…

Chaque établissement étant unique, l’assurance est adaptable à leurs contraintes particulières, grâce à la possibilité de souscrire à de nombreuses options.
Le montant de la souscription dépend du nombre de chevaux et de poneys, en pension ou non, ainsi que des caractéristiques du centre équestre : superficie, type de construction, nombre de boxes et de stalles…

C’est pourquoi souscrire à une assurance permet à un centre équestre d’être protégé contre tous les types d’accidents pouvant survenir.

Pourquoi et comment réaliser une période d’essai ?

Si vous pratiquez l’équitation depuis plusieurs années, peut-être avez-vous pour projet de faire l’acquisition d’un cheval. Pensez à réaliser une période d’essai.

L’achat d’un cheval implique certaines responsabilités, ayant trait notamment à sa santé et à son cadre de vie. Cela entraîne également de nombreux frais auprès de spécialistes (vétérinaire, maréchal-ferrant, mais aussi ostéopathe, dentiste).
Avant de vous engager, il donc primordial de juger de la bonne santé du cheval et de veiller à trouver celui qui comblera vos attentes.
Une période d’essai avant un achat éventuel est une pratique qui permet de s’entourer d’un maximum de précautions.

Pourquoi réaliser une période d’essai ?

Une période d’essai avant d’acheter un cheval présente plusieurs intérêts :

  • Lors d’une « rencontre » avec un cheval, vous pouvez avoir un gros coup de coeur, et une envie irrésistible d’en faire l’acquisition… pour vous rendre compte, l’achat effectué, que le cheval présente des vices, des défauts, des maladies.
  • Si vous êtes un peu plus circonspect, vous aurez pris soin de bien essayer le cheval, et de contrôler son anatomie (tête, encolure, dos, appareil locomoteur, pas, trot), mais concrètement, vous n’aurez que peu de temps pour faire ces observations. La période d’essai permettra de préciser celles-ci, dans le bon ou le mauvais sens. Ainsi, vous vous protégez des mauvaises surprises (voir le cas du membre « Caspero » sur le forum Cheval Annonce).
  • De manière plus technique, la vente à l’essai permet de s’assurer que le cheval correspond bien à la carrière vers laquelle vous voulez l’orienter (balade, saut, cross, etc).
  • Vous profiterez de l’avis du vétérinaire lors de la visite, pour savoir le cheval est en bonne santé. Vous pourrez aussi en profiter pour vérifier son identification.

Spécificités d’un contrat d’essai

Sachez d’abord qu’une période d’essai ne se conclut pas forcément par une vente : l’acheteur peut décider de rendre le cheval à la fin des quinze jours ou du mois d’essai.
Un contrat doit être signé entre le vendeur et l’acheteur, mais il est vivement conseillé de prendre l’avis d’un professionnel avant de le signer !
Ce contrat couvre le vendeur contre ce qui peut arriver pendant la période d’essai et spécifie la nature de l’essai. Durant cette période, c’est toujours le vendeur qui est responsable du cheval (à moins que l’acheteur ne commette une faute ou une négligence).

Téléchargez notre exemple-type de contrat (PDF)

Pourquoi signer un contrat de vente pour son cheval ?

La vente d’un cheval est réglementée par la loi française, qu’il s’agisse d’un cheval de race ou non. Ainsi, vendre des équidés (ânes, cheval) est régi par le Code civil et nécessite la rédaction d’un contrat de vente.

Comme tous les biens de consommation classiques (baguettes de pain, vêtements…), une transaction s’effectue entre un vendeur et un acheteur. Toutefois, l’on n’achète pas un cheval comme l’on achèterait une paire de chaussures. La décision d’investir dans un équidé est une décision réfléchie et bien souvent pour un usage très particulier, comme la compétition pour ne donner qu’un exemple. Le cheval est dressé et obéit aux règles données par un cavalier. Selon l’usage souhaité, le cheval doit avoir une bonne condition physique et mentale. Le contrat de vente va permettre à un acheteur de détourner les arnaques et de faire jouer la justice lors d’un litige.

Comment bien rédiger un contrat de vente ?

Pour éviter des procédures de justice onéreuses et longues, il est bon de prendre toutes les précautions nécessaires lors d’une vente d’un équidé.

Par conséquent, le contrat de vente devra comporter les mentions suivantes :

  • Identification du vendeur (nom, prénom, coordonnées complètes, profession, professionnel ou particulier)
  • Identification de l’acquéreur et du cavalier si nécessaire (nom, prénom, coordonnées complètes, profession, niveau équestre, usage professionnel ou particulier)
  • Identification du cheval (nom, date de naissance, race, le numéro SIRE, le numéro UELN, les problèmes de santé du cheval ainsi que son niveau)
  • Usage du cheval : dans cette catégorie, l’acheteur devra spécifier les raisons de l’achat d’un équidé. Ainsi, il précisera si le cheval est destiné à la compétition, le niveau visé, la discipline (dressage, attelage, voltige, TREC, endurance, randonnée, retraite…)
  • Le prix et les conditions de paiement
  • Expertise du cheval par un vétérinaire
  • Expertise du cheval par un maréchal-ferrant (Examen de maréchalerie)
  • Essai du cheval (préciser la période d’essai)
  • Expertise par un professionnel du monde équestre
  • Les conditions de vente

Quelle hauteur pour une clôture ?

Tout propriétaire d’équidés devrait s’intéresser de près aux clôtures de l’espace de vie de ses animaux, qu’il s’agisse d’un simple paddock, ou d’une pâture.
En effet, elles sont un des éléments principaux de leur sécurité, constituant les limites visuelles de leur environnement. Elles doivent bien entendu être sûres et non dangereuses pour les animaux.

Les différents types de clôture

Il existe différents types de clôtures. Les clôtures électrifiées, avec du ruban ou de la cordelette, sont les plus courantes et les plus sûres. On trouve également des clôtures sous forme de palissades en rondins de bois, ou à base de haies,… Certaines, comme les fils barbelés, ou les fils métalliques simples sont souvent utilisées, mais néanmoins vivement déconseillées car jugées dangereuses pour les animaux.

Quelle hauteur pour quel cas ?

Quel que soit le type de clôture utilisée, sa hauteur globale est un élément primordial. Cette hauteur va bien évidemment dépendre en premier lieu du type d’animal gardé.
De base, quelles qu’elles soient, les clôtures devront avoisiner une hauteur globale minimum de 1,30 m.

Dans le cas plus particulier des clôtures électriques, et pour des chevaux calmes et généralement respectueux des clôtures, il est courant de réaliser sa clôture sur 2 hauteurs (approximativement 1,30m, et 70 cm), le ruban le plus haut évitant que le cheval ne saute, et celui du bas évitant qu’il ne passe sous la clôture, par exemple en broutant l’herbe.

Dans certains cas, vous pouvez également rajouter quelques rangs de clôture, ou la modifier, par exemple :

  • Pour les entiers, et les chevaux nerveux, il est conseillé de rajouter une hauteur de clôture (jusqu’à 1,70 cm) afin d’éviter les franchissements.
  • Pour les petits gabarits (petits shetlands, chevaux miniatures…), ne pas hésiter à rajouter un rang de clôture plus bas, à 40 cm du sol.
  • Dans le cas d’une localisation potentiellement dangereuse du terrain (près d’une route passante, d’une voie de chemin de fer…), il est conseillé d’utiliser au moins 3 hauteurs de rubans, avec une hauteur totale d’1,60m afin de limiter les risques de fuite, que ce soit pour la sécurité des animaux, ou celle des usagers.
  • Lorsque l’on doit séparer 2 animaux, il est d’usage de diviser le terrain avec une double clôture, d’environ 1,30 m de haut, et d’au moins 1m de large.

Dans tous les cas, il est important d’ajuster ses clôtures à l’animal, en veillant à ce qu’elles conviennent à la fois à l’animal le plus petit et à l’animal le plus grand.

Soigner la dermite estivale

Comme chaque année, le retour des beaux jours signifie, pour les propriétaires de chevaux, le retour possible de la dermite estivale récidivante des équidés.

Qu’est-ce que la dermite estivale ?

Cette affection de la peau est due à une allergie à la salive injectée par les insectes suceurs de sang au moment où ils piquent l’animal. Il peut s’agir de moustiques, de mouches, de taons ou de certains moucherons en autres.
L’allergie se traduit par de fortes démangeaisons que le cheval essaie d’atténuer en se grattant au point de perdre des crins et des poils mais aussi de blesser sa peau et de finir couvert de plaies qui s’infectent si le cheval n’est pas soigné rapidement.

Tous les chevaux ne réagissent pas de cette façon aux piqûres d’insectes.
La maladie se développe uniquement chez les chevaux qui sont héréditairement sensibles aux allergènes de ces insectes. Ils sont d’ailleurs, souvent aussi, sensibles à certains aliments.

Comment éviter la dermite estivale ?

Vu qu’il n’existe à ce jour aucun traitement pour soigner la dermite estivale, le propriétaire d’un cheval devrait s’inquiéter, dès son arrivée, si oui ou non son cheval est prédisposé à la maladie.

Un test sanguin, une biopsie cutanée ou un test intradermique peut révéler cette sensibilité aux allergènes et inciter le propriétaire à prendre toutes les mesures prophylactiques nécessaires.

La première mesure est d’éviter la prolifération des insectes en gardant propre l’environnement du cheval (renouveler le bac d’eau, évacuer au loin la paille humide).

L’utilisation d’insectifuge, de pesticide et de shampooing adaptés sont aussi recommandés et si le cheval le supporte, il peut être couvert d’une couverture moustiquaire et même d’un masque et d’un bonnet.

Il est également conseillé de mélanger de l’ail, des oignons ou des poireaux crus à la ration du cheval. L’odeur dégagée par le corps du cheval a alors un effet répulsif pour les insectes.

Que faire en cas de dermite ?

Bien que nous connaissions tous l’adage « Mieux vaut prévenir que guérir », il arrive que la dermite s’installe et que le pauvre cheval a alors besoin de soins particuliers et immédiats pour limiter les dégâts.

Une solution calmante doit être appliquée et renouvelée régulièrement pour atténuer le prurit et s’il y a des plaies, il est nécessaire d’appliquer une pommade antiseptique.
Le vétérinaire peut éventuellement prescrire des corticoïdes.

Si la maladie peut être soignée à ses débuts, il est important de se rappeler que la prévention est primordiale car la dermite à répétition devient chronique avec des lésions de plus en plus sérieuses.

Vermifuger son cheval

Tout propriétaire de cheval se doit d’être particulièrement sensibilisé à l’utilisation des vermifuges. Comme pour tout animal, ils sont utilisés en prévention ou en traitement contre l’infestation de parasites.

Les différents types de vers

Les chevaux sont attaqués par deux grandes catégories de vers.

Les premiers sont les vers ronds. Parmi eux, deux familles sont particulièrement dangereuses : Les ascaris en premier lieu, des parasites pouvant atteindre jusqu’à 20 cm de long. Ils infestent les jeunes poulains et entraînent amaigrissement et retard de croissance. Les seconds sont les strongles, tristement connus pour être la principale cause de coliques chez le cheval. Cette affection entraîne encore aujourd’hui et dans de nombreux cas la mort du cheval.

La seconde catégorie de parasites est celle des vers plats qui contient trois variétés de ténias, bien connus également chez les humains. Ils infestent le cheval du poulain sevré jusqu’au retraité et peuvent affaiblir l’état général du cheval.

Quand vermifuger son cheval ?

Afin de faire face à chaque type de vers dont la période de prédominance et d’infestation varie, des vermifuges spécifiques ont été créés. Un cheval au pré doit être vermifugé 4 fois par an, ce chiffre peut être réduit à 2 fois pour un cheval vivant exclusivement au box. Les poulains, quant à eux doivent être vermifugés tous les 2 à 3 mois jusqu’à 1 an.

Quel vermifuge utiliser ?

Pour savoir quel vermifuge utiliser, 4 paramètres sont à prendre en compte :

  • Les vers contre lesquels nous souhaitons lutter
  • La saison
  • La molécule la plus efficace contre les vers ciblés
  • La fréquence d’utilisation de cette molécule : en effet, il ne faut pas utiliser le même vermifuge de façon trop rapproché, sans quoi son efficacité va diminuer

De façon générale, les propriétaires de chevaux vermifugent contre les vers plats de décembre à janvier. Les marques les plus utilisées sont l’Eqvalan, l’Equimax ou encore l’Equest Pramox.

De mars à avril, et juin à juillet, il faut lutter contre les vers ronds en utilisant par exemple le Furexel, l’Equimectin ou encore l’Equest.

Enfin, la quatrième période de vermifugation est entre septembre et octobre. Les parasites visés sont une nouvelle fois les vers rond mais également les gastérophiles qui sont des larves d’insectes, de mouches en particulier, ingérés durant l’été. Pour lutter contre eux, l’Equigard ou l’Eraquell ou l’Eqvalan sont très efficaces.

A quoi faut-il penser en cas d’orage avec son cheval ?

On est souvent pris au dépourvu lorsque l’orage gronde pour savoir quoi faire avec son cheval. Quelques conseils avisés ne font jamais de mal.

Les aléas de la météo ne sont pas toujours positifs pour les chevaux. Lorsqu’on en possède, l’orage se révèle sûrement être l’un des pires dangers qui puissent arriver. Voici quelques conseils à suivre pour éviter les risques orage avec son cheval.

Des problèmes très importants en cas d’orage

L’orage est une perturbation que l’on ne peut pas contrôler, et il peut être la cause d’accidents indirects. En effet chaque année des milliers d’animaux décèdent à cause la foudre, il est alors essentiel de prendre les précautions nécessaires.

Tout d’abord, le plus grand risque lié à l’orage va être l’électrocution. En effet, la force du courant peut atteindre le corps du cheval.

Plus dangereux encore, la foudre pourrait toucher les organes vitaux comme le cerveau ou le coeur. Ceci provoquerait un décès par défaillance du système respiratoire ou nerveux ou par arrêt cardiaque.

Être alerté de l’orage

Puisque l’orage constitue une perturbation incontrôlable, il est alors nécessaire de savoir à quel moment il va tomber.

Tout d’abord il est essentiel de savoir reconnaître les premiers signes de l’orage afin d’éviter d’arriver à une situation très dangereuse pour son cheval. Il faut déjà regarder les nuages. S’ils sont en petits groupes et surmontés de tours assez petites, il est assez probable que des orages aient lieu dans la journée.

Les endroits à éviter en cas d’orage

Afin d’éviter de mettre son cheval en danger involontairement, une liste de lieux est absolument à éviter en cas d’orage.

Il ne faut pas laisser ses animaux dans un endroit dégagé à l’extérieur, comme un terrain ou un champ, ou près de structures métalliques qui attirent le tonnerre.

Du côté de la nature, les arbres, les sources d’eau – comme les étangs – ou les montagnes et lisières des forêts sont interdites. Détrompez-vous, une tente ne constitue pas un bon abri pour un cheval.

Enfin il ne faut pas qu’il soit à proximité de fenêtres, même fermées et de toutes sortes de clôtures et de câbles sous tension.

Trouver un abri sûr

Afin de protéger votre cheval, il est essentiel de le mettre à l’abri. En effet, allez dans un bâtiment à l’écart de fenêtres afin d’être le plus possible éloigné de la foudre.

Le tout est donc de s’établir dans un endroit fermé. Ainsi l’animal sera protégé et moins effrayé par la vue et le bruit du tonnerre.

Que couvrent les garanties de frais vétérinaires ?

Les garanties de frais vétérinaires divergent d’un assureur à l’autre et les couvertures sont parfois légèrement différentes. Analysez les garanties proposées par les différents contrats avant de faire votre choix.

Existants sous plusieurs formes la garantie frais vétérinaires est une garantie très recherchée par les propriétaires de chevaux avertis, qui savent combien peut coûter une intervention chirurgicale sur leur cheval.

Selon les compagnies et les contrats, nous pouvons analyser plusieurs types de garanties frais vétérinaires :

Les assurances couvrant l’intégralité des frais vétérinaires

Il existe les garanties de frais vétérinaires qui couvrent l’intégralité des dépenses liées à la santé de votre cheval (vaccin, rappel, etc.). Ce type d’assurance peut être considérée comme une mutuelle pour votre cheval. il s’agit de la couverture la plus complète pour votre cheval, mais également la plus coûteuse.

Ce type de formule possède un inconvénient important c’est que la cotisation de votre garantie est liée à la consommation que vous pourrez avoir avec votre cheval. Plus vous êtes remboursé par la garantie frais vétérinaires, plus la cotisation risque d’augmenter à l’échéance de votre contrat.

Les assurances couvrant les risques sensibles

Il existe également les garanties frais vétérinaire qui comprennent les risques « sensibles » de votre cheval. c’est-à-dire que la garantie ne couvrira que les frais vétérinaires liées à une intervention chirurgicale. Que se soit un risque de colique ou des frais de santé liés à une intervention chirurgicale, l’intégralité des frais de soins seront pris en compte.

L’avantage de ce type de formule c’est qu’elle coûte beaucoup moins cher et qu’elle n’est pas dépendante de la consommation que vous pouvez avoir avec votre cheval.

Quels autres paramètres doit-on prendre en compte ?

Les autres paramètres qui rentrent en compte dans l’analyse de la couverture des frais vétérinaires dans un contrat d’assurance, c’est la franchise et le plafond d’intervention.

Nous vous invitons à ne pas comparer deux formules de frais vétérinaires sans prendre en compte ces paramètres.

En effet la majorité des formules de frais vétérinaires proposées sur le marché, comprenne une franchise et un plafond annuel de garantie. D’autres contrats vous permettent de bénéficier d’un plafond de garantie par acte (c’est à dire que pour 3 opérations vous avez 3 fois le plafond, soit le triple de garantie par rapport à l’autre catégorie de contrat !).

Une analyse approfondi des frais vétérinaires vous permettra de savoir si les frais vétérinaires proposés sont dans l’une ou l’autre des catégories.

Assurer un camion

Vous possédez un camion porte chevaux ? Petit tour d’horizon des garanties nécessaires pour bien assurer votre camion, ses aménagements et les chevaux transportées. Un contrat plutôt simple à mettre en place.

Profession en plein boom, Equitanet propose aujourd’hui des produits sur mesure pour l’assurance des transporteurs de chevaux. Vous pouvez assurer les véhicules et les chevaux qui vous ont été confiés avec un contrat unique plus simple en gestion et en suivi.

L’assurance d’un camion diffère finalement assez peu d’un contrat automobile hormis les aménagements qui sont compris dans votre véhicule car ces derniers sont souvent plus nombreux que dans les véhicules légers.

Notre équipe de souscripteurs propose plusieurs formules d’assurance au tiers, vol incendie ou tous risques selon vos besoins et surtout selon votre budget.

Retrouvez avec nos spécialistes les différents contrats RC professionnelle de transporteur de chevaux, mais également nos solutions d’assurance pour les camions portes chevaux.

Assurance de tous les cavaliers des centres équestres

Il existe aujourd’hui des formules pour assurer l’ensemble des cavaliers d’un centre équestre sans se soucier de la couverture qu’il possède par ailleurs.

Depuis longtemps les dirigeants de centres équestres sont inquiets des insuffisances de garanties des cavaliers.
Dorénavant un pack de garanties automatique (frais de soins, frais de rapatriement, frais d’urgence et de secours, invalidité…) est à disposition avec une sécurité maxi, en effet tout cavalier qui ferait une chute d’uns des chevaux du centre sera automatiquement bénéficiaire du Pack de garanties.

La seule formalité pour le dirigeant du centre : lister tous les chevaux d’école ou de rando que les élèves ou cavaliers de passage sont susceptibles de monter.
Une simplicité sans égal.
Enfin tranquille !

Un bon exemple de mise en service :
Lors d’une randonnée une cliente anglaise, pourtant habituée, tombe très gravement au beau milieu d’un bois, à l’aide de son téléphone portable l’accompagnateur alerte les secours face à la difficulté d’accès pour l’ambulance des pompiers, les services sécurité sollicitent l’intervention d’un hélicoptère seul capable d’arriver vite sur place 20 min plus tard la personne est dans l’hélicoptère et 35 min plus tard accueilli à l’hôpital.

Le budget de frais de sauvetage et de rapatriement ferait peur à tout porte monnaie de centre équestre la garantie de tous les cavaliers apporte alors une aide très précieuse : frais hélicoptère remboursés + premiers soins ainsi qu’une garantie invalidité s’il en était besoin
Une véritable tranquillité.